Saturday, May 10, 2014

Oumar


Mes veines se dessechent
Tes parfums manquant.
 
Ineffable.
 
A l'aube de mes reves, mon sommeil s'allongeait.:
voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes : A O I U E
C'est autour d'Arthur que nous nous sommes rencontres unis avant d'avec ses mots,
dedans nous parcourumes, la nuit de Borges.

Dafa sore. A gauche,fi. Il y a du rab et des tabala qui caressent les sables en siecles, jusqu'a nous.
Des tabelles, mes mabelles et nos descryptions.
Ah les levres suspendues a tes mots sursis, embrassants, riants de songe. Comment puis je ecrire que ce que je ne peux croire est vrai; sang sur elle chair.  

Xol! Sang! Inspires ! A chaque fois que les mots changent de sens et les choses de symboles, les peuples retournent a reapprendre l'histoire et les nouveaux noms.
Une musique t'entend. Je suis triste et dechire, que puis-je apprendre?  Te conter ?  

Puis-je te voir? Te manger , ton coeur ton a venir, m'etouffer a te vivre, te mourir, a danser a Kedougou, a saltimbanquer sur la VDN.
Apparais moi. Appareillons. Tresailles.xaritophage, ma bouche est saoule de te denombrer  

Verra la morte ed avra i tuoi occhi.  

avec A Rimbaud et A. Kourouma, C. Pavese.